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de gaulle réveille toi, ils sont devenus fous un site utilisant les blogs le monde.fr recherche menu principal aller au contenu principal aller au contenu secondaire accueil page d’exemple navigation des articles ← articles plus anciens ardèche : en suivant la route des miels de sapins et la merveilleuse vie des abeilles…. publié le 27 juillet 2014 par francisgruzelle avec les miel de sapins d’ardèche, l’authenticité est garantie avec l’alsace, les vosges, l’ardèche fait partie de ces contrées préservées des pollutions, qui produisent d’authentiques miels de sapins ( http://lesmielsbio07.onlc.fr/ ) , souvent médaillés rédigé par francis gruzelle | avec l’alsace, les vosges, l’ardèche fait partie de ces contrées préservées des pollutions, qui produisent d’authentiques miels de sapins, souvent médaillés, et bien d’autres miels aux saveurs incomparables, appréciés des consommateurs ! un miel issu de miellats comme le miel de sapin des vosges, le miel de sapins d’ardèche est un miel issu de miellats déposés sur les branches des sapins des massifs des cévennes. de couleur foncée. il possède un arôme boisé et révèle un goût malté, balasmique avec une douceur caractérisique. selon le site wikipedia, « le miel de sapin des vosges est une appellation d’origine contrôlée (aoc) décrétée depuis le 30 juillet 1996 et modifiée le 23 septembre 1999 et le 31 août 2010 . en france, le miel d’alsace , le miel de corse , le miel de provence , bénéficient aussi d’une igp ou d’une aoc. » les miels de sapins d’ardèche a l’abri de toute pollution, dans une nature sauvage les miels de sapins d’ardèche, dont les producteurs n’ont pas les moyens financiers de financer une igp, ont été reconnus pour leurs qualités gustatives, sensorielles, et leurs propriétés incomparables, lors des concours de miels nationaux et régionaux. dans le nord ardèche, l’apiculture, pratiquée notamment en forêt, constitue aussi une force vive. et élus, apiculteurs, consommateurs, comme le grand public constatent le succès grandissant rencontré par le concours régional des miels de drôme et d’ardèche ( http://lesmielsbio07.onlc.fr ), organisé chaque année et ouvert à des milliers d’apiculteurs. initié au coeur de la vallée du rhône au teil, en ardèche, il permet de sélectionner les meilleurs miels, dans de multiples catégories, et de récompenser, avec des médailles d’or, d’argent et de bronze, de nombreux apiculteurs nord ardéchois. les vosges et l’alsace ont privilégié les aoc pour bénéficier de l’aoc, le site wikipedia explique que « les miels doivent provenir de miellats butinés par les abeilles sur le sapin des vosges ( abies pectinata lmk. ) et doivent être exclusivement récoltés, décantés et agréés dans l’aire géographique définie par la liste suivante des cantons et communes concernées…. ». des lieux de productions spécifiques en ardèche beaucoup de miels de sapins récoltés en ardàche sont produits dans le nord du département, aux confins du département de la haute-loire, dans les massifs qui dominent lalouvesc et saint bonnet le froid, à l’abri de toute pollution. constitué principalement de miellat de sapin noir et d’épicéa, il présente un goût malté très typique lié à la saveur des plantes de montagne : menthe, bruyère, framboisier, mûrier. lire aussi : biodiversité menacée: les abeilles se cachent pour mourir….. attaquées de toute part par les pesticides, insecticides, etc, les abeilles pourraient disparaître aussi rapidement que les dinosaures. rédigé par francis gruzelle | les dirigeants de l’apiculture lancent un sos les apiculteurs familiaux sont indispensables sur tous les continents, les abeilles ( http://lesmielsbio07.onlc.fr/ ) domestiques meurent par milliards. les causes sont multiples: pesticides, eaux polluées, maladies, nouveaux prédateurs, insecticides, absence de biodiversité florale, parasites, etc. l’europe et la france n’échappent pas à ce dramatique phénomène, et des dizaines de milliers d’apiculteurs voient leurs ruches se vider en période de floraison. les abeilles partent butiner et ne reviennent jamais à la ruche. a croire que maya et ses sœurs se «cachent pour mourir». que font les pouvoirs publics et les syndicats ? alors que s’ouvre le salon international de l’agriculture à paris, porte de versailles, où les officiels vont se bousculer avec de beaux discours, l’hécatombe massive des abeilles inquiète sérieusement les apiculteurs en ardèche, dans la drôme, en france, comme ailleurs. les parasites et le déclin de la biodiversité sont montrés du doigt. les insecticides, les pesticides, les ogm aussi! pour les responsables des apiculteurs, pour les scientifiques qui étudient l’abeille, « les causes sont vraisemblablement multiples. des solutions sont à l’étude… » et certains syndicats d’apiculteurs, à l’image de l’abeille ardéchoise et drômoise, semblent déterminés à sauver les abeilles. beaucoup de structures régionales, comme la fédération apicole rhône-alpes (fara), présidée par eric perret, multiplient les interventions auprès des pouvoirs publics, montent des dossiers sans bruit et sans publicité, apportant leur pierre pour «sauver le soldat abeille». c’est aussi le cas de l’abeille ardéchoise et drômoise, qui estime que « les efforts régionaux ne sont pas suffisamment relayés par certaines structures nationales… » des insectes et des hommes si des estimations mondiales font état de la disparition des deux tiers des abeilles recensées il y a cinquante ans, la planète abrite encore un certain nombre d’espèces. on en compte 20.000 dans le monde. 2.500 d’entre elles sont recensées en europe, moins d’un millier en france. la production de miel en chute libre selon l’union nationale de l’apiculture française, première structure nationale qui fédère près d’une centaine de syndicats départementaux, la consommation nationale de miel ( http://lesmielsbio07.onlc.fr/ ) est stable, à 40.000 tonnes par an. la production, en revanche, est en baisse constante: 18.000 tonnes en 2010, contre 32.000 en 1995. les apiculteurs diminuent aussi. en 1994, la france comptait 84.215 apiculteurs, professionnels et familiaux, pour un total de 1.351.991 ruches. en 2004, ce nombre est tombé à 69.237 personnes pour 1.346.575 ruches. 1.762 de ces apiculteurs étaient professionnels (c’est-à-dire, selon les critères européens, propriétaires de plus de 150 ruches). l’hiver a été meurtrier en ardèche, dans la drôme, dans la loire, en rhône-alpes, en alsace, dans les hautes-alpes, le morbihan, le jura… les abeilles disparaissent, laissant un désolant spectacle de ruches vides. pas de cadavres, ou juste quelques petits corps secs prostrés en grappe… « on compte environ 30% de pertes chez les apiculteurs professionnels », estime-t-on au centre national du développement apicole (cnda), qui n’a pas encore publié de statistiques officielles. «2010 est une année dramatique», confirme le président de l’abeille ardéchoise et drômoise: « il y a beaucoup de causes, nous ne trouvons pas ce qui cloche ni comment faire face. » en ardèche, les pertes de colonies avoisinent souvent 50 à 60% du cheptel. selon bernard vaissière, chargé de recherche au laboratoire abeille et environnement de l’institut national de la recherche agronomique d’avignon, l’hécatombe, année après année, s’explique par « la disparition des habitats et de la nourriture, le développement de maladies et des prédateurs, et l’utilisation de produits phytosanitaires ». certes, le rôle des pesticides, sujet à polémique depuis des années, demeure central dans la surmortalité actuelle. mais ces produits ne sont pas les seuls en cause… des maladies spécifiques aux abeilles dans le box des accusés figurent ainsi plusieurs parasites. il y a la loque, spécialiste en pourrissement de tube digestif, ou encore l’acariose des trachées, qui porte bien son nom. mais surtout varroa, l’acarien blafard suceur de sang, et nosema, le champignon tueur. ces deux-là font la paire: la butineuse, épuisée dans un premier temps par le petit vampire, ne résiste pas, ensu